Pour accélérer la transition des entreprises vers une économie plus durable et plus éthique, et les aider à atteindre la neutralité carbone en 2050, la Commission européenne a initié, dès 2020, une taxonomie. Il s’agit de contraindre les grandes entreprises à publier des données non financières, rassemblées selon des critères environnementaux et sociétaux, en vue d’une classification des activités économiques durables. Cette taxonomie permet ainsi d’identifier les entreprises ayant un impact positif sur l’environnement.
Grâce à Greenomy et à sa plateforme dédiée, la collecte et la publication des données sur la durabilité de ces entreprises se trouvent considérablement facilitées. Cet outil aide non seulement ces entreprises à se conformer plus facilement à la directive européenne, mais rend également leur degré de durabilité plus visible. Ce qui favorise les investissements dans ces entreprises plus vertueuses.
«Dès son ébauche, il était clair que la taxonomie européenne serait lourde et complexe, tant au niveau des textes de loi que des moyens à mettre en œuvre pour s’y conformer», explique Henri Vanhomwegen, Head of Product. C’est de ce constat qu’est née Greenomy. Elle offre aujourd’hui tout un écosystème de plateformes, chacune dédiée aux spécificités de différents secteurs d’activité. En vulgarisant les textes de loi, en dressant un questionnaire précis selon ces secteurs et en digitalisant toutes les données récoltées, Greenomy simplifie et clarifie l’ensemble du procédé. Et évite à ces entreprises de se noyer dans des milliers de pages de textes techniques et dans des procédures répétitives.
Ces entreprises peuvent dès lors mieux comprendre la taxonomie européenne et ses enjeux. Greenomy joue donc un rôle crucial dans l’optimisation de leur stratégie de durabilité, en y intégrant des règles de reporting et en facilitant leur application. En publiant un rapport des données récoltées, Greenomy rend celles-ci disponibles pour d’autres entreprises et pour les institutions financières.
Greenomy aide également les institutions financières à collecter les données de leurs clients et à calculer quelle part de leur actifs et investissements répond aux critères de la taxonomie européenne. Une manière d’encourager les investissements qui contribuent à une évolution vers plus de durabilité.
Évidemment active en Europe, Greenomy est souvent consultée par des institutions ou des entreprises non européennes qui, confrontées aux mêmes défis, souhaitent implémenter une taxonomie locale en s’inspirant de la taxonomie européenne. «La force de Greenomy? Son expertise et la plateforme qu’elle a développée et qui permet une interactivité entre les différentes taxonomies à travers le monde. L’Asie, l’Afrique, l’Amérique en ont déjà compris tout l’intérêt. L’Europe aussi. À titre d’exemple, un fonds d’investissement européen qui souhaiterait investir dans une société en Amérique, peut avoir très rapidement une idée précise du degré de durabilité de la société visée» précise Sarah Lokman, Head of Sustainability.
En deux ans, Greenomy est parvenue à faire sa place et à construire une crédibilité à un niveau international. Son équipe, présente partout en Europe, est fière de contribuer aux objectifs de durabilité de la Commission européenne et à ceux de leurs clients. Chez Greenomy, on sait que guider les entreprises pas à pas et leur offrir un outil opérationnel aura un impact concret. Voilà qui motive à aller encore plus loin!
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