En fait, c’est plutôt par hasard que je suis entré dans les assurances. Après mes études d’ingénieur commercial, j’ai postulé de manière fortuite pour un premier emploi dans une compagnie d’assurance. À l’époque, je me suis dit: «Que vais-je faire dans ce secteur?». Mais très vite, j’ai compris les défis auxquels le secteur était confronté et les opportunités qu’il offrait. Ça bouge énormément dans le monde de l’assurance, non seulement sur le plan de la législation et de la technologie, mais aussi de l’expérience client. Il y a 20 ans, on ne se préoccupait pas de savoir quelles étaient les attentes des utilisateurs d’assurances en termes d’expérience client. À l’époque, tout ce que les gens voyaient, c’était un contrat, et pas ce qu’il y avait derrière. Aider nos clients à intégrer ces transitions, c’est précisément ce à quoi nous nous employons aujourd’hui, en tant qu’entreprise.
Avec mes 4 cofondateurs, nous avons eu la chance de pouvoir mettre en commun nos expériences et nos points forts, pour nous focaliser sur le monde de l’assurance. Avec des acteurs locaux, qui connaissent parfaitement le marché belge et les produits d’assurance. C’est ainsi qu’Ensur a vu le jour en 2014. Nous considérons que notre mission consiste à aider les sociétés à intégrer toutes ces nouvelles évolutions et tendances.
En fait, le véritable fil rouge de notre histoire, c’est la transformation. Ainsi, nous aidons nos clients à surfer sur la vague du digital, en plein essor. Ils comptent aussi sur nos connaissances pour intégrer de manière pragmatique les réglementations européennes dans leurs processus, applications et produits. En outre, depuis plusieurs années, le monde de l’assurance est confronté à une vague de consolidations, et nous aidons les assureurs à valoriser leurs portefeuilles en vue d’une reprise éventuelle. «Que signifie la reprise pour mon organisation? Quelles sont les conséquences pour mes systèmes informatiques? Quelle est la meilleure stratégie de migration à adopter?». Nous possédons tout le know-how en interne. Et au besoin, il nous arrive aussi de mouiller notre chemise avec eux, pour atteindre le résultat ensemble. Cela nous procure énormément de satisfaction, jour après jour.
Les assurances, une mauvaise image? Je ne dirais pas ça. Mais il est important de bien informer les clients et d’agir en toute transparence, dès le départ. Pour qu’ils sachent vraiment ce qu’ils peuvent attendre de leur police d’assurance. La technologie nous y aide car les données nous permettent de démontrer concrètement qu’une personne est sous- ou sur-assurée. À nouveau cette transparence.
En savoir plus sur Ensur & thewave? Visitez notre site web.